Salagir's Blog

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Les films Astérix

Le août 28th, 2018
Grand fan de cette série de BDs, aujourd’hui, mon avis sur tout !

Infos au cas où :
Astérix est avant tout une BD, commencée en 1961.
Scénario: René Goscinny, aussi auteur des livres « le Petit Nicolas », et pleins d’autres BDs dont « les Dingodossiers » avec Gotlib. C’est un Dieu du scénario. Mais vraiment.
Dessin : Albert Uderzo, aussi dessinateur sur d’autres séries au dessin très réaliste. Que les profanes ne croient pas qu’il fait des gros nez et des jambes courtes par manque de connaissance des proportions. C’est un Dieu du dessin. Mais vraiment.

Les films live

Visuellement, ces films sont très proches de la BD, et c’est très bien. Mais pour le scénario, et la mise en scène, c’est une hécatombe.

Astérix et Obélix contre César (1999)

Désolé, je n’ai pas eu le courage de le revoir pour cet article. Je me rappelle d’un Clavier très énervant, d’une ambiance très éloigné de l’histoire des albums, d’être atteré à chaque scène. Je ne pourrais pas justifier ici pourquoi, souvenirs trop lointains.
Je crois juste pouvoir dire que le titre donne l’erreur. Déjà Astérix n’est jamais « contre » quelqu’un. Dans aucun titre d’album. Ensuite, dans le film il n’est pas contre César puisqu’il s’allie avec lui contre le méchant.

Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre (2002)

Bon ben on sait, hein. C’est le seul, le meilleur de tous. Marrant d’ailleurs qu’il en soit de même pour les dessins animés. L’album de base peut être félicité :)

Pour être honnête, ce film est un demi-Asterix. Une moitié seulement est composée d’humour Goscinny, mais c’est déjà plus que les trois autres réunis. L’autre moitié, c’est l’humour « Les nuls » et « Canal + » de l’époque. Et comme cette autre moitié est bien aussi, on est très content du résultat.
On sent dans Alain Chabat qui a réalisé le film, un grand amour de la BD et une grande compréhension de l’humour de Goscinny. C’est pour ça que j’apprécie le film et son humour, parce qu’il est dans le ton de la BD. Les gags qu’il reprend et adapte en film sont réussis et bien choisis. Certains autres qu’il ajoute (quand ce n’est pas purement de l’humour Canal [de l’époque]) sont dans le ton des albums. On est bien dans Asterix, là où dans les autres films on ne l’est pas. Les autres semblent avoir compris à quoi ça ressemblait visuellement, mais pas l’esprit.

Astérix aux Jeux olympiques (2008)

De nouveau un grand ratage, qui commence par le fait qu’on ajoute dès le départ un petit gaulois teigneux en personnage principal. N’avons-nous pas déjà Asterix ? Vous allez dire, dans le précédent, Numerobis est le personnage principal au lieu d’Asterix, et je le regrette. Et j’avoue qu’entre Jamel et Clavier, je ne sais pas lequel m’énerve le plus.

Ce film n’est qu’une succession de caméos. Et ce n’est pas suffisant pour être drôle. Je vous en fait un, tel que je m’en rappelle :
– Bonjour, je suis Assurancetourix.
– Bonjour je suis Francis Lalanne.
– Oh, continuons de discuter de choses inintéressantes et pas drôle pendant 3 minutes.
– Je suis chanteur comme vous. Je suis Francis Lalanne.
– Comment tu peux me connaître ??
– Vous avez vu ? Je suis Francis Lalanne !
(après avoir écris ça, je retrouvé la scène sur le net. Si c’est la seule, alors cette retranscription parodique est fausse, et ça dure qu’une minute. Mais dans mon esprit, c’est ça qui s’est ancré, il y a donc un problème)

D’autres sont très justifiés : Prendre caméo Michael Schumacher pour une course de char, c’est cool. Mais lui donner un rôle important et lui lécher les pattes pendant toutes ses scènes (dont « Germanie : Forever the best »), pourquoi ?

Le caméo José Garcia qui est créé par un tour de magie. Qui est ce type, pourquoi apparaît-il comme ça ? Est-ce un démon ? Non, pas du tout, il ne semble avoir aucun pouvoir ! Alors pourquoi toute cette scène d’apparition si compliquée, non présente en album, et sans gag, pour ça ?

Aussi, quel manque de subtilité ! Montrer caméo Dany Brillant se pâmer devant un miroir, ça va avec le personnage. Mais pourquoi mettre en musique de fond une de ses chansons ? On est trop con, c’est ça ?

À la fin, par le biais d’une balle qui échappe au caméo Jamel, on a le caméo de pleins pleins de sportifs qui vont jouer avec cette balle dans leurs sports respectifs. Ça pourrait être rigolo et bien pensé. Bon, moi j’en reconnais aucun (oui, même Zidane je l’ai pas reconnu, mais j’ai compris quand le perso joué par caméo Semoun sort une tirade lèche). Mais il y a un soucis. Cette scène devient vite un peu lente, un peu trop appuyée. Beaucoup des scènes du film, partant d’une bonne intention, sont ratées. Alors imaginez celles qui partent d’une mauvaise intention !
En fait ptet que ce film a un humour de footballeur, c’est pour ça que j’ai pas compris.

Astérix et Obélix : Au service de Sa Majesté (2012)

Légèrement mieux, mais définitivement pas suffisant.

Ratage d’or pour la référence à « Je suis ton père », avec un son Star Wars pour enfoncer le clou. C’était hors propos, ça vient comme un cheveu sur la soupe, les acteurs eux-même se demandent pourquoi ils font ça.
La référence Star Wars, aussi avec son, dans le 2e film, était tout à fait justifiée… Ça parle d’empire romain pour le jeu de mot, et utilise un design de casque et cape qui fait référence, de plus la phrase a un sens dans le contexte ! C’est comme ça qu’on fait…

Je citerai aussi cette phrase d’Astérix envers Obélix : « Mon problème, c’est que même quand tu es là, je me sens seul. Je me sens seul intellectuellement. Je suis sous-alimenté en intelligence avec toi. Je te supporte. (…) Et au final j’en retire quoi, moi, hein ? Bah rien, je me sacrifie pour rien ! Le résultat il est nul, archi-nul. » Depuis quand Astérix est un connard ?
C’est scène est atterrante, terrifiante de malaise !!
Si vous voulez que les persos s’engueulent, relisez les albums ! Même dans le film précédent ils s’en sortaient mieux, et regardez aussi leur première scène dans le dessin animé Domaine Des Dieux, vous verrez…

Les dessins animés

Astérix le Gaulois (1967)

Terriblement ennuyeux, ce ratage a été fait semble-t-il dans le dos des auteurs. Suite au visionnage, ils ont pris les rennes des suivants, créant deux magnifiques animés.

Astérix et Cléopâtre (1968)


C’est peut-être la nostalgie qui parle, mais c’était un dessin animé excellent !
Par contre, c’est internet qui a ressuscité le pudding à l’arsenic hein, avouez, avant l’an 2000, vous ne vous en rappeliez pas.
Bon, faut avouer que de nos jours la qualité de l’animation a pris un sacré coup…

Les Douze Travaux d’Astérix (1976)


Une histoire originale absolument démente.
Avec des scènes qui restent parfaites aujourd’hui, comme le bureau de fonctionnaires et la recherche du terrible laisser-passer A-38…

Les autres

Ensuite, une suite de dessin animés moyens, en tout cas selon mes souvenirs d’enfance.
J’imagine que les auteurs étaient moins présents ou absents (en tout cas Goscinny était mort).

Astérix et la Surprise de César (1985)
Vu en cassette, me rappelle de rien.

Astérix chez les Bretons (1986)
Vu en cassette, me rappelle de rien. Internet dit qu’il est super.

Astérix et le Coup du menhir (1989)
Vu en cassette, me rappelle de rien.

Astérix et les Indiens (1994)
Vu au ciné, c’était assez nul. La plupart des gags de « La grande traversée » étant textuels (glouglou, suivez les traces), rien ne passe, alors ils inventent des trucs idiots et un dauphin gentil qui les aide…

Astérix et les Vikings (2006)
Ça y est, je l’ai vu ! Scénario pas mal du tout. Dessins magnifiques.

Le Domaine des dieux (2014)

Alooooors… voilà un retour en 3D, géré par Alexandre Astier, l’incroyable auteur de Kaamelott !
Et aussi et même surtout par Louis Clichy. Mais je suis désolé, je vais pas parler de toi du tout. T’as l’air super-sympa et tout, mais désolé :p. Bon si, une ligne quand même : il s’est occupé de toute la 3D et animation, allant jusqu’à monter un studio pour ça : Mikros. L’imagerie du film est nickel. Tout est nickel. Excellent travail.

Revenons à Astier.
Et bien oui, comme Chabat, Astier a tout compris à l’humour Asterix, et ce film est une réussite.


← Ça les gars, ça s’appelle de la mise en scène.

J’en profite pour causer un peu du cast (en fait, c’était ça mon article de départ, mais je me suis emporté).
On retrouve souvent des acteurs communs aux créations de la famille Astier, et là il y en a beaucoup.
Et comme tous les films astérix, les caméos avec des acteurs Français connus sont nombreux (Astier était dans le 3 d’ailleurs). Sauf que là, à la voix on les reconnait pas toujours, certains parlent à peine !!

Alors voici ma présentation d’une sélection du cast !

Les dieux vivants :
– Roger Carel : Astérix, Idéfix. Et ce dans TOUS les dessins animés depuis le début !! Vous l’avez entendu dans mille autres doublages.
– Brigitte Lecordier : voix additionnelles. Également voix de Oui-oui, et dans DB et DBZ : petit Son Gokû, Goten, Videl… Vous l’avez entendue dans mille autres doublages.

Kaamelottiens :
– Guillaume Briat : Obélix (Kaamelott: le roi Burgonde)
– Géraldine Nakache : Dulcia (Kaamelott : la Duchesse d’Aquitaine, Sur la piste du Marsupilami d’Alain Chabat : Pétunia. marrant parce que…)
– Alain Chabat : Sénateur Prospectus (Kaamelott: Duc d’Aquitaine!)
– Alexandre Astier : le centurion Oursenplus (Kaamelott : le roi Artur, donc il se caste lui-même)
– Lionnel Astier : Cétautomatix (Kaamelott: Léodagan, oué c’est son père)
– Joëlle Sevilla : Iélosubmarine (Kaamelott : Dame Séli, c’est sa mère)
– Élie Semoun : Cubitus, un chef de cohorte (présent dans d’autres films et dans Kaamelott: Le répurgateur)
– Franck Pitiot : Humérus (Kaamelott : Perceval). À un moment il dit « c’est pas faux ! » !
– Serge Papagalli : Abraracourcix (Kaamelott : le Paysan Guethenoc)
– Pascal Demolon : le gladiateur goth (Kaamelott : Spurius Cordius Frontinius)

D’autres gens intéressants :
– François Morel : Ordralfabétix (les Deschiens, et humoriste à France Inter, double le dessin animé « Tu mourras moins bête »)
– Florence Foresti : Bonemine (j’ai besoin de la présenter ?)
– Lorànt Deutsch : Anglaigus (Je vois qu’il était aussi dans « Astérix et les Vikings »)
– Laurent Lafitte : Duplicatha
– Sébastien Lalanne : le mosaïste (joue dans Hero Corp de Simon Astier, oué c’est son frère)
– Baptiste Lecaplain : le gladiateur numide (était dans une bande avec Géraldine Nakache citée plus haut)

Le Secret de la Potion Magique (2018)

Le retour de la même équipe. De toute bonne qualité, de bons moments, très réussi.

Mais j’ai un problème avec le fond du scénario. Attention spoiler :
D’une, le méchant est beaucoup trop gentil. Son design et attitude sont excellents et inquiétants comme il faut, mais sa voix est d’une gentillesse, ça casse tout ! Ensuite, son plan n’a aucun sens. Panoramix cherche semble-t-il un élève qui n’existe pas. Même le meilleur aurait été à l’évidence refusé. Lorsque ce dernier est pris pour une mauvaise raison, il est ensuite répudié non pas à cause de la fausse raison, ni par faute de son implication dans le plan du méchant… Mais pour complètement autre chose (le cairn).
Le méchant c’est donné tout ce mal… uniquement pour voir la préparation de la potion. Il avait tant de manières différentes d’y arriver ! Et pour finir, la potion est quand même préparée… sous les yeux d’une légion romaine et de tous les autres druides !! Mais à l’évidence ils ne regardaient pas.

Les Bandes Dessinées

Bon, allez, je parle de ça aussi.
Je vais pas citer tous les albums. Ils se séparent en trois périodes.

Tomes 1 à 24: scénario de Goscinny


La série géniale qui a créé le succès qu’on connait.

De petites choses à noter sur l’esprit de la BD. Sur les 24, seulement 8 albums se passent dans le village. On y retrouve des clichés drôles et assumés sur les autres pays, des références à l’Histoire et à la politique du moment, une satire de notre société dans tous ses aspects. J’insiste dessus parce que c’est justement ce qui manque totalement à la suite, ainsi qu’à la plupart des dessins animés et des films.


← Obélix en train de servir un demi. Cliquez sur l’image pour la page complète, vous verrez comme le gag est bien amené et travaillé, et pourquoi c’est super.

Et aussi l’incroyable Detritus. →
Notez comme de sa simple présence il déclenche une zizanie. Et son plan pour que le village Gaulois tombe dans la mésentente totale est parfait. Voilà un auteur qui connait ses personnages ! Pas comme dans le 4e film où Astérix est un connard, cf plus haut.
Cliquez sur l’image pour la version complète.

Tomes 25 à 34: scénario de Uderzo

À la mort du scénariste, le dessinateur continue la série.
Le premier album (« Le grand fossé« ) est pas mal, je le soupçonne d’avoir retrouvé des notes de Goscinny pour arriver à un bon résultat ;) Par la suite, chaque album trouve le moyen d’être pire que le précédent.
Les idées initiales de Uderzo, pleines de bonnes volontés, sont gâchées par le manque évident du talent humoristique de Goscinny, et l’envie terrible de vouloir placer du gnangnan et des trucs qui, même dans Astérix, sont trop débiles pour être crédibles.

Sur les 8 albums (je ne compte pas la rentrée Gauloise ni l’anniversaire) 5 se passent dans le village. Les personnages sont comme bloqués, ça manque de nouveauté. Il s’appuie sur leurs archétypes pour tenir son histoire, alors que Goscinny les utilisait en toile de fond et en intro. Après, souvent il partait à la découverte d’un nouveau pays et de nouvelles idées.

Le gnangnan : dans mon enfance déjà, je détestais plus que tous les problèmes qui se résolvaient par le pouvoir de l’amour/l’amitié (c’est à dire, que le simple fait que l’amitié existe, créé une magie qui sauve la situation – sur-utilisé dans les dessins animés pour enfants). Quand Obélix retrouve sa taille normale parce que Astérix est en danger, j’étais atterré. J’ai souvenir que ça arrive aussi dans un des mauvais dessin animés (voir plus haut). Des situations sont aussi gérées par le fait que le scénariste a juste décidé qu’il était temps que ce soit réglé : l’action concrète des héros n’a donc pas d’effet, ce qui est terriblement décevant. Assurancetourix qui retrouve sa voix. La potion magique qui n’a au final plus besoin d’huile de roche. Panoramix décide de chercher l’Altlantide, donc il la trouve, juste pass’que.

Truc débiles : on commence à toucher les limites avec un tapis volant et des fakirs qui volent et se lancent des éclairs. C’est un peu beaucoup alors que jusque-là, toute magie était basée sur des potions de druide. Mais c’est les mystères de l’Orient, ok. Mais ensuite on passe à l’Atlandide et les vaches qui volent, puis enfin les extraterrestres les plus délirants. Et pourquoi re-boire de la potion magique transforme en granit, et surtout pourquoi ça transforme ensuite en enfant ? Aucun rapport entre les effets : le granit, et l’enfance. Et puis un album plus tard, elle fait grandir. Bah, avant elle guérissait… C’est encore une fois l’auteur qui fait ce qu’il veut, pass’que.
Notez que les effets aléatoires de potions dans « Le combat des chefs » c’était sur plusieurs potions. Pas juste la même qui change d’effet selon les besoins du scénariste.
J’ajoute les trucs nuls et énervants. Ah bon, Astérix et Obélix sont nés le même jour ? Pas rancunier Astérix, que tout le village ait alors fêté l’anniversaire d’Obélix au tome Obélix et compagnie mais pas le sien ! Leurs deux pères qui sont exactement eux avec des cheveux blancs (original), et qui évidement sont super amis également.

Ses envies d’aborder un sujet intéressant sont gâchées par l’horreur de son développement.
La rose et le Glaive : c’est ainsi que Uderzo comptait montrer qu’il n’était pas misogyne, en représentant une armée de filles criants comme des adolescentes en courant : « Hiiiiiiii ». T_T
La galère d’obélix : Au temps de Goscinny, le représentation du noir à énormes lèvres rouges et parlant sans les « r » était encore très présente. Sans le pardonner, on peut comprendre. Mais j’étais atterré à la sortie de cet album (1996), d’y voir la caricature hyper présente sur un nouveau personnage, qui en plus parle ainsi : « Présentement là dis-donc… »…
Le ciel lui tombe sur la tête : l’hommage vers la création américaine, pourquoi pas. Mais la haine claire envers l’œuvre asiatique, c’est carrément insultant. L’intégralité de la création anime et manga résumée en une caricature : Goldorak. Pourtant, Chihiro était déjà sorti en france au ciné (2002, la BD c’est 2005)… Mais non, Uderzo a préféré juger sur UN dessin animé de mauvaise qualité qui passait à la télé… en 1980 !


← Fin de la subtilité. Des animaux « humains » et un rêve prémonitoire -_-
Cliquez sur l’image pour la version complète.

Tomes 35 et + : Scénario par Jean-Yves Ferri et dessins par Didier Conrad

Pour l’instant il s’agit de « Astérix chez les Pictes » et « Le Papyrus de César » (j’ai pas lu le 3e)
Et bien… je les trouve très bien !
La formule c’est la même que décrite plus haut pour les bons films. On sent que les auteurs sont d’immenses fan d’Astérix et ont cherché à reprendre, avant tout, l’humour et l’histoire de Goscinny, et le trait d’Uderzo.


← Noms avec jeux de mots à jour, et décalage réussi sur les livres.
Cliquez sur l’image pour la version complète.

2 Responses to “Les films Astérix”

  1. Depuis quand Astérix et Obélix vivent dans la même hutte, tiens ? Dans les vieux albums, ils avaient chacun la leur, il me semble.

    J’avais bien aimé Chez Rahazade, je pense que c’est le meilleur de la partie Uderzo solo, mais ça fait un moment que je l’ai pas lu. Le grand fossé est censé être une analogie du Mur de Berlin, mais j’étais passé complètement à côté à l’époque.

    Pour Le ciel lui tombe sur la tête, hommage à la création américaine ? À Mickey, peut-être, je m’en souviens plus trop, mais les super-héros en prennent clairement pour leur grade. Bon, moins que les mangas, c’est sûr… Je me demande si quelqu’un a expliqué à Uderzo que ce qu’il avait fait revenait à juger toute la B.D. franco-belge après avoir lu trois pages de Titeuf.
    Niveau subtilité, t’as oublié le pire : la référence au Corniaud, très bien au passage, mais qui est expliquée par une note en bas de page !

    J’ai pas encore osé tenter les nouveaux auteurs, même si j’en ai entendu plus de bien que de mal, faudra que je m’y mette un jour.

    Guenhwyvar

  2. hommage à la création américaine ? À Mickey, peut-être, je m’en souviens plus trop

    Marie

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